Fatigué
Dépendant de ta passion,
Tues victimes de tes illusions.
De chemins de traverses,
A de douces ivresses.
Cette peur angoissante,
Qui te détruisait.
Cette rage sanglante,
Qui te méprisait.
Aspire à la paix,
Tu seras belliqueux.
Aspire aux bien faits,
Tu seras malheureux.
On cherche à t’exterminer.
Détruire ton existence,
Anéantir ta pensée,
Et toutes tes louanges.
Mais à rien ne sert de lutter,
Contre cet infamie,
Car elle est renforcée,
Par de bien trop forte pensées ennemies.
A rien ne sert ton innocence,
Contre ces êtres sans cœur.
A rien ne sert ton silence,
Contre cette douleur.
Incompréhensible fatalité,
Tu a abats ton bras,
Implacablement appliqué,
Jusqu’au jour du trépas.
Ainsi, tu es fatigué d’échouer,
Dans cette lutte insensée.
Tu voudrais être heureux,
Mais cela t'ai trop dangereux.