je ne comprends pas

La brumes tombe doucement,

Sur mon visage apeuré,

Incompréhensible tourment,

Qui précipitamment est tombé.

Effrayé, je ne comprends pas,

Que ce long sillage derrière toi,

Signifie que tu n’es plus là.

Tout est vide maintenant, j’ ai froid.

A quoi bon pleurer,

Puisque tu ne peux voir mes larmes,

Et je ne peut lutter,

Car ton absence me désarme.

Je ne voit que trop mon erreur,

Mais il est sans doute trop tard.

Seul abandonné a ma torpeur,

J’ai perdu la lumière du far.

Mais si j’échoues à te reconquérir,

Laisse les larmes du remords,

Mettre un terme à mon avenir,

Car le repos est dans la mort.