Le chemin

Publié le par Rebillard Gwénaël

Dur chemin que tu es.

Parsemé de joies et de peines,

On te juge sur le mot de « fatalité »,

Car tu es remplie de haine.

De tes embûches blafards,

Tu ne laisse rien au hasard.

Chaque pas posé sur ce destin,

Nous rapproche de la fin.

Tu es notre fossoyeur quotidien.

L’on voudrais te prolonger dans l’infinie,

que notre frayeur repousse au landemain,

tu es le chemin de la vie.

 

 

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